Gestion décentralisée des eaux urbaines par des solutions fondées sur la nature - outils méthodologiques décisionnels
Le projet TONIC visait à développer des méthodologies d'aide à la décision pour accompagner les collectivités dans une gestion durable des eaux urbaines pour savoir ou déconnecter les eaux urbaines en fonction des zones contributives et définir les limites de différentes solutions fondées sur la nature en terme de compacité et de performances pour un meilleur choix des technologies en milieu urbain.
Réalisé par l'unité de recherche REVERSAAL d'INRAE et le laboratoire DEEP de l'INSA de Lyon, le projet à permis des avancés significatives sur l'optimisation des actions à mener pour rendre les villes plus résilientes. Une journée de restitution sera mise en oeuvre le 20 Novembre 2025 de 10 h à 16 h dans les locaux d'INRAE et par visioconférence.
La participation est gratuite mais les inscritpions obligatories pour assister à cette journée de restitution.
Les zones urbaines font face à des challenges liés à l’évolution des stratégies de gestion des eaux et des territoires en raison de l’augmentation de la population urbaine et du changement climatique. Des solutions innovantes sont donc nécessaires pour rendre les villes plus résilientes aux changements globaux. La gestion des eaux usées urbaines est globalement organisée de manière centralisée entraînant des linéaires de réseaux importants dont la gestion peut poser des questions aussi bien économiques qu’environnementales. Mener une approche décentralisée de la gestion des eaux urbaines, en intégrant des solutions fondées sur la nature, est une réelle opportunité pour repenser les villes de demain et rendre les villes plus réislientes face au changement climatique. La mise en œuvre d’une gestion décentralisée des eaux urbaines de temps de pluie pose des questions décisionnelles, opérationnelles et techniques : comment optimiser le degré de centralisation/décentralisation des eaux pluviales et domestiques, quelles incidences sur les flux de polluants à traiter, quelles technologies de traitement sont envisageables suivants les contraintes spatiales et d’usage final, quelles conséquences cela induit d’un point de vue économique ou de gestion des infrastructures, etc. Tout autant de questions auxquelles les maîtres d’ouvrages devront faire face dans leurs choix stratégiques.
Il y a 2 questions dans ce questionnaire.
